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BASKETBALL -

SHAWN KEMP, LE DÉTENTEUR DU MJÖLNIR !

The Reign Man était connu pour ses tomars résonnant comme le marteau du Prince d’Asgard. Un trade avorté plus tard contre Scottie Pippen qui a fait trembler Seattle et aurait pu sceller la carrière de Michael Jordan… Telle est sa répercussion sur la NBA !

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SHAWN KEMP, LE DÉTENTEUR DU MJÖLNIR !

The Reign Man était connu pour ses tomars résonnant comme le marteau du Prince d’Asgard. Un trade avorté plus tard contre Scottie Pippen qui a fait trembler Seattle et qui aurait pu sceller la carrière de Michael Jordan… Telle est sa répercussion sur la NBA !

Shawn, le cercle comme ami...

Des arrachages de cercle et de cabeza violents tels le tibia de Patrice Quarteron sur un crâne d’amateur en Classe B.
Des rebonds de porc comme Dennis « Je fais du sale à Carmen » Rodman.
Un duo de dingos vaillants aux côtés de Gary Payton qui pouvait te provoquer une diarrhée afin de manquer la rencontre du soir.
Introduisons celui qui a fait, entre autre, la ville de Seattle et qui a permis aux SuperSonics de se faire un nom avant de malencontreusement disparaître du paysage (nous attendons leur retour avec impatience) :
SHAWN « THE REIGN MAN » KEMP !

Maman j'ai eu une mauvaise note...

Nous sommes en 1988, un temps où les joueurs NBA fraîchement draftés passaient à 99.99% du temps par la case NCAA afin de faire le saut vers le regretté David Stern.
Mais comme l’exception existe toujours afin de confirmer la règle, et surtout car le frère ne savait pas gérer les Cosinus ou conjuguer le verbe « être », son éligibilité à fouler les parquets lors de son année Freshman au sein du prestigieux programme de Kentucky ne fût accordée.
En effet, Shawn n’obtint pas la note minimale de 700 lors du SAT : Scholastic Aptitude Test.
Malgré cet échec, il décida tout de même de se joindre au cursus universitaire mais fût contraint de quitter leurs rangs en Novembre car il fût accusé d’un vol de deux chaînes en or auprès de son coéquipier Sean Sutton (accessoirement fils du coach).
Après avoir été transféré vers le Trinity Valley Community College où il effectua un trimestre, Mr. Kemp déclara son nom pour la Draft NBA 1989 et devint ainsi le cinquième joueur a être sélectionné dans la Grande Ligue sans avoir effectué le moindre match universitaire.

Une arrivée en fanfare...

Comme-ci sauter l’étage NCAA n’était pas suffisant niveau pression, ajoutons à l’équation une comparaison avec Michael Jordan lors de sa sélection en 17ème position et un statut de « superstar » en devenir due au fait que le gamin était doté d’une férocité, d’une rapidité et d’attitudes rappelant grandement « Sa Majesté ».
Un apprentissage express lors de sa saison rookie (seulement 13 minutes de moyenne dans les guiboles) et le voici propulser starter au poste 4 par sa Franchise suite au départ de Xavier McDaniel, ce qui marquera l’avènement d’une évolution statistique intéressante qui l’emmena pour la première fois au All-Star Game lors de l’exercice 1992-93.

Seattle a failli partir en fumée...

Le lien étant déjà tout trouvé avec le guard des Bulls, il n’en fallu pas plus aux Sonics pour tenter de l’échanger à Chicago suite à l’élimination prématurée de Seattle en Playoffs face aux Denver Nuggets en 1993-94 en échange d’un certain Scottie Pippen et du double 6ème Homme de l’année Ricky Pierce.
MJ étant pré-retraité à cette période, celui-ci déclara que si le trade avait eu lieu :

Imaginons un instant le duo Jordan – Kemp d’un côté, affrontant ce qui aurait probablement été la meilleure paire défensive de l’Histoire, Gary Payton – Scottie Pippen (19 All-Defensive Team pour nos 2 loubards), le tout bien évidemment lors des Finales NBA…

Mais qu’a-t-il bien pu se produire pour que cette transaction ne soit avortée ? Extrait en poésie :

Comme quoi la violence peut potentiellement régler deux-trois problèmes 🤣

Une fin mitigée...

Un échange aux Cavs en 1997 (on oubliera volontairement la suite), une prolongation de contrat de 7 ans d’une valeur de 107 millions de dollars, une saison au scoring sous forme de record avec une moyenne de 20.5 points/rencontre puis un joli palmarès de 7 enfants pour la coquette somme de 6 mamans différentes sur les papiers officiels.
Une prise de poids liée à la consommation de drogue, une alimentation certainement désastreuse et un basketball perdu seront synonymes de non intronisation au Hall of Fame.

De là à en déduire que cela est immérité ? C’est même le contraire.
Cela n’aurait pas été un scandale de voir le prodige d’Elkhart, Indiana rejoindre les gloires de son sport car oui, il a marqué le Basketball de ses  fracas dans la raquette !

ISIAH THOMAS, UN BAD BOY EMPLI DE SAGESSE !

Isiah Thomas fut l’un de ceux s’étant dressé sur la route de Michael Jordan avec succès, l’un des top meneurs de jeu de tous les temps. Mais quelle empreinte a-t-il laissé sur la NBA ? Son absence de la Dream Team ’92 est-elle une calomnie ?

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ISIAH THOMAS, UN BAD BOY EMPLI DE SAGESSE !

Isiah Thomas fut l’un de ceux s’étant dressé sur la route de Michael Jordan avec succès.

Mais quelle empreinte a-t-il laissé sur la NBA ?

Son absence de la Dream Team ’92 est-elle une calomnie ?

Présentons le Bonhomme...

. Isiah Lord Thomas III, né le 30 Avril 1961 à Chicago, Illinois.

. Septième enfant d’une fratrie de 9

. 1m85, Meneur de jeu

. Champion NCAA (Indiana Hoosiers) : 1981

. Most Oustanding Player (Meilleur joueur du Final-Four) : 1981

. Second choix de la Draft : 1981

. 13 saisons NBA

. NBA All-Rookie First Team : 1982

. 12 fois All-Star, y compris lors de sa saison rookie

. All-NBA : 1983, 1984, 1985, 1986, 1987

. Double Champion NBA : 1989, 1990

. MVP des Finales : 1990

. Double MVP du All-Star Game : 1984, 1986

. Seule ombre à son palmarès : TROP FORT (ne parlons pas de l’épisode 1992 où son absence dans la Dream Team est une escroquerie monumentale…)

. Detroit Pistons : Numéro 11 retiré 

 . Introduction au Hall-Of-Fame : 2000

. Fiche de santé terminée et signée Gregory House

Prendre soin de sa descendance...

Mentor et exemple pour de nombreux joueurs comme Kevin Garnett et Chris Webber ayant suivi ses pas jusqu’au Hall of Fame, Isiah Thomas a su transmettre son savoir et distiller les avertissements à la nouvelle génération.

Ceux-ci lui ont évidemment bien rendu en produisant des carrières dignes de son registre. Nous vous invitons d’ailleurs à écouter les discours respectifs de KG et C-Webb qui ne tarissent pas d’éloge à son sujet. Et quand on connaît le tempérament de ses deux individus sur le parquet, aucun doute qu’ils ont été à la bonne école.

En parlant d’école...

Isiah avait pour habitude de se réveiller chaque matin à 4h30. Il prenait ensuite quatre bus et un train pour se rendre à la St. Joseph High School.

Au cours de ses 3 premiers matchs, il maintint une moyenne de 40 points, cependant son équipe afficha un bilan de 1-2.

Son coach, Gene Pingatore, le prit à part après la deuxième défaite et lui signifia qu’ils ne gagneraient jamais de cette façon et qu’il devait impliquer ses coéquipiers en scorant 25 points et en délivrant 10 passes décisives.

Il raconta que son jeune joueur était très attentif aux remarques à son encontre, qu’il acceptait les critiques et qu’il avait conscience du niveau de jeu qu’il avait et savait exactement où il comptait aller, ce qui constituait une énorme différence entre lui et les beaucoup d’autres joueurs.

Les Bad Boys de Detroit...

Les 80’s, le Michigan, the Palace of Auburn Hills, Dennis Rodman, Joe Dumars, Bill Laimbeer, les coups de coudes, les écrasements de tête, le sirop de sang comme Kaaris, les batailles face au trio Bird-McHale-Parish, le traitement de faveur envers Michael Jordan (je vais citer Scottie Pippen sinon il boudera) et le cassage de c** des Bulls nous pouvons le dire…

Soyons limpides, Isiah Thomas était le BOSS des BAD BOYS de DETROIT !

La Grande Ligue, des stats hors du commun...

À titre purement indicatif (continuons de respecter cette légende), 25, 24, 21 et 20 sont ses meilleures performances en terme de caviars distribués sur une seule et même rencontre.

Encore plus impressionnant, il termina la saison régulière 1984-1985 avec 21.2pts et 13.86 assists de moyenne. Cette marque aux passes décisives représente la troisième performance All-Time sur une saison, seul John Stockton ayant fait mieux à deux reprises (14.54 et 14.20).

Magic Johnson (13.06) étant quant à lui dans le rétroviseur de Zeke, l’enfant prodige de Chicago qui fit des misères à Chicago.

Post-Scriptum...

Michael Jordan, Scottie Pippen et Horace Grant ont subi la foudre des Pistons lors des Playoffs pendant trois saisons consécutives : 1988, 1989, 1990. Comme quoi, même les meilleurs ont déjà perdu (celle-là est destinée aux haters de LeBron James).

BRANDON ROY, FRAPPÉ EN PLEIN VOL !

Brandon Roy était un joyau, un joueur dont le ciel n’était aucunement la limite.
Prince du Moda Center avant un certain Dame Dolla, il fut malheureusement frappé par des genoux fragiles comme ceux d’Abou Diaby…

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BRANDON ROY, FRAPPÉ EN PLEIN VOL !

Brandon Roy était un joyau, un joueur dont le ciel n’était aucunement la limite.
Prince du Moda Center avant un certain Dame Dolla, il fut malheureusement frappé par des genoux fragiles comme ceux d’Abou Diaby…

Un destin atypique...

Pur produit de Seattle, comme ses compères Jamal Crawford, Isaiah Thomas et Nate Robinson, Brandon Roy est l’un de ses joueurs au plafond illimité dont la carrière a brutalement été stoppée par une blessure fatale au point culminant de son ascension.

Rien n’a été facile pour B-Roy, y compris son éligibilité en NCAA (National Collegiate Athletic Association).

Souffrant de troubles de l’apprentissage telle que la faculté de lire « normalement », il a dû s’y reprendre à maintes reprises (quatre au total) afin de recueillir les aptitudes scolaires minimales requises par la Ligue Universitaire.

N’étant pas totalement confiant en sa capacité à suivre un programme d’études complet, Brandon partit au charbon.

Effectivement, il était employé des Docks de Seattle et était chargé de nettoyer les conteneurs vides. Le tout pour la modique (du latin modicus, de modus, mesure) somme de 11 dollars par heure passait à se casser le dos.

Petite aparté, je tenais à rendre hommage à toutes celles et ceux qui reçoivent de faibles salaires alors qu’ils contribuent au bien être collectif de part leur tâches. Vous êtes respectables !

La case NCAA...

Après l’effort, le réconfort, ou plutôt la récompense des heures de travail à lutter contre les difficultés liées à sa maladie.

Nous sommes en 2002, les Washington Huskies annonce la signature de l’enfant du pays.

Attention, je parle du programme universitaire situé dans l’état de Washington, plus précisément dans la ville de Seattle, et non de la capitale du sol américain.

Quatre ans plus tard, après avoir suivi le cursus « Ethnic Studies », ce qui correspond à l’étude des différences qu’elles soient d’ordre ethnique, de nationalité, raciales, sexuelles ou de genre etc, il est maintenant jeune diplômé.

Celui qui se fera par la suite appelé « The Natural », ce qui démontre les qualités intrinsèques du bonhomme, se présenta à la Draft NBA 2006 après avoir retiré son nom en 2005.

Des conteneurs à la Grande Ligue...

Sélectionné en sixième position en compagnie de son futur coéquipier LaMarcus Aldridge (son nom fut scandé seulement après celui d’Andrea Bargnani… ça pique pour Toronto…) par les Portland Trailblazers, B-Roy put donc profiter de la proximité entre sa ville natale et la Franchise qu’il allait maintenant représenter.

Comme de nombreux rookies ayant suivi un cursus universitaire de 4 ans, Brandon (je ne sais pas pourquoi j’imagine un gars avec une crête au volant d’une Megane tuning en lisant son blaze) était « NBA Ready ».

Ses 16,8 points, 4,4 rebonds, 4 passes décisives lui valurent l’obtention du titre de meilleur débutant de la Ligue (Rookie of the year) en fin de saison, de quoi démontrer qu’il ne faudra pas le négliger.

La suite est dans la lignée des belles promesses dévoilées lors de sa première saison, avec une convocation au All-Star Game lors de son année Sophomore (seconde saison).

Malheureusement, les blessures étaient déjà présentes...

Blessure au genou gauche synonyme de 25 rencontres manquées et 57 matchs disputés lors de sa première saison, ce qui constitue le second plus faible total pour un joueur ayant été couronné du titre de R.O.Y (ne faisons pas de jeu de mots).

Blessure à la jambe pour sa seconde campagne, ce qui lui coûta de jouer avec des douleurs récurrentes toute la seconde partie de l’acte.

Intervention chirurgicale lors de l’intersaison 2008-2009 afin de retirer du cartilage dans son genou, ce à quoi il récupéra ses aptitudes physiques. Il afficha ainsi un niveau de jeu similaire à ses standards, ce qui lui permit de décrocher une seconde sélection au « Match des étoiles ».

Direction 2009-2010, B-Roy continue son récital offensif :

Mid-Range Jumper, catch and shoot, step-back, pull-up jumper, fadeaway, prise de contact avec le défenseur pour se créer l’espace nécessaire et déclencher son bras… Tout y passe…

Un All-Star en puissance qui enchaîne avec une troisième apparition consécutive ainsi qu’une extension de contrat de 4 saisons servie sur un plateau par Philippe Etchebest.

Un dénouement evident...

Tout semble se passer comme sur des roulettes, mais la poisse frappe encore. Une déchirure du ménisque droit s’ajoute au listing, un passage sur le billard est nécessaire et cette fois-ci, c’est irrémédiable.

Le verdict est sans appel, le chirurgien accompagnant Brandon Roy est catégorique.

La carrière de son patient est remise en cause, il ne lui reste qu’un ou deux an(s) maximum à jouer et forcément ce ne sera pas sans peine.

Brandon Roy raccrocha sa paire de Nike TN et s’en alla voguer vers de nouveaux horizons en tant que Head Coach.

Le Naismith National High School Coach of the Year lui fût même décerné en 2016, son équipe (emmenée par un certain Michael Porter Jr) finissant la saison avec une fiche parfaite de 29-0.

Reconversion réussite !

Post-Scriptum...

Si jamais vous désirez admirer The Natural, je vous suggère le match où il établit son record de points en carrière en dégustant 52 patatras bravas au nez et à la barbe de mes Phoenix Suns.

DIRK NOWITZKI, UNE ÉPOPÉE À LA MAXIMUS !

The German Jesus, voir même le pilote de chasse Maverick, mais aussi le capitaine à la chevelure dorée, puis le détenteur du Fad Fad no mi, et finalement celui qui se faisait appeler l’escargot vous démontre qu’il ne suffit pas d’empiler les All-Star pour soulever le Larry O’Brien.

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DIRK NOWITZKI, UNE ÉPOPÉE À LA MAXIMUS !

The German Jesus, voir même le pilote de chasse Maverick, mais aussi le capitaine à la chevelure dorée, puis le détenteur du Fad Fad no mi, et finalement celui qui se faisait appeler l’escargot vous démontre qu’il ne suffit pas d’empiler les All-Star pour soulever le Larry O’Brien.

Marquons l'Histoire...

Nous sommes le 16 Juin 2016, les Dallas Mavericks de Dirk Nowitzki, the German Jesus, montent sur la scène des Playoffs 2011. L’objectif est simple et toujours le même :

Gagner le titre NBA !

Après avoir obtenu le titre de MVP 2006-2007, ce qui représente la plus haute distinction indivuelle, il est grand temps pour le 9e choix de la Draft 1998 d’aller toucher le graal collectif; le « pourquoi du comment » il enchaîne les séries de tirs interminables au quotidien.

Fort d’un effectif expérimenté comprenant des soldats aguerris tels que Jason Kidd, Shawn Marion, Jet Terry, Tyson Chandler et un certain Ian Mahinmi, les Mavs ont su se hisser à la troisième place de la Conférence Ouest avec un bilan de 57-25.

Le droit de rêver est donc permis !

Un tour de chauffe délicat...

Place au premier round, direction l’Oregon et la ville de Portland, qui a cet instant précis assiste au déclin du Roi Brandon, et ça, cela représente à mon humble avis l’un des plus gros gâchis de l’histoire.

Cependant, les Blazers comptent dans leurs rangs le presque All Star LaMarcus Aldridge, le virevoltant Gerald Wallace, la pépite Nicolas Batum et Wesley Matthews, qui je tiens à le préciser tourne à 15,9 points de moyenne lors de sa saison sophomore.

Une opposition loin d’être évidente à gérer pour n’importe quelle équipe. Cette série livrera son verdict lors de la sixième manche loin des terres texanes sur le score de 4-2.

Nos vieux briscards se qualifient pour le deuxième tour et envoient Batman en vacances à Louviers.

La cité des Anges...

Second stop, Los Angeles, et comme vous le savez, il y a de fortes chances qu’en 2011 ce ne soit pas pour affronter les Clippers (elle est gratuite celle-là).

Ils se dressent maintenant face aux Lakers du trio Kobe Bryant, Pau Gasol et Lamar Odom, avant que ce dernier ne sombre dans la dépression et ne se fasse rattraper par ses addictions. Nous te souhaitons le meilleur Lamar, essaies de vaincre tes démons, le combat continue comme dirait Kery.

Mais doit-on vraiment parler de ce moment de souffrance vécu par les supporters des Lakers ?

4-0… Habituellement, à 3-0 tu lâches la manette sur Fifa. Mais laissez-moi répéter, 4-0 ! C’est le tarif infligé par les hommes de Mark Cuban à la franchise californienne.

Il faut savoir que cela représente le troisième sweep reçu par le Black Mamba en carrière, comme quoi cela arrive même aux meilleurs d’échouer. Il est de votre devoir de faire le nécessaire pour que cela ne se reproduise plus.

Un trio pas très net, surtout le meneur...

Nouvelle étape, et cette fois-ci c’est un clash générationnel qui s’offre aux Mavs, les minots d’Oklahoma City débarquent :

Kevin Durant, Russell Westbrook et James Harden portent les mêmes couleurs, ce qui constituerait certainement un grand cirque en 2021.

La fougue, la folie et les courses à gogo sont opposées à la clarté du jeu mis en place par Rick Carlisle. Sur le papier, cet affrontement a tout pour nous régaler, le troisième affronte le quatrième.

Le Tonton Dirk croise le fer avec les Supernovas de la NBA. D’ailleurs, suis-je le seul à penser que Kevin Durant possède le Haki des Rois ? Serait-il lui aussi un D. ? Bref…

Les Mavs éclatent le Thunder 4-1, aurevoir merci.

Kendrick Perkins, meilleur joueur All Time peut retourner mettre de l’huile sur sa barbe. Et là le gros du morceau arrive !

Los Tres Amigos...

La Superteam (entre nous, qu’est-ce que je déteste ce terme et ce concept) de Miami a laminé Philly, Boston et Chicago 4-1.

Le titre leur est déjà promis, personne ne mise un kopek sur les chances de victoire de Dallas, mais le sport reste le sport ! Sinon on donnerait le titre aux Nets version 2020-2021 tous les ans et on ne jouerait plus les saisons (ça c’est une attaque personnelle envers les basketixs, sachez que je vous aime).

Les Mavericks sortent le barbelé, placent 2-3 tourelles en défense, appellent Obi-Wan Kenobi etc etc et ça donne la statistique suivante :

92 ! C’est le nombre de points affichés par le Heat sur les 6 rencontres des Finales NBA 2011. Comment vous dire que la défense des Mavs a totalement anéanti les systèmes offensifs floridiens.

D-Wade et LeBron qui se sont foutus de la gueule de Dirk, en prétextant qu’il avait simulé le fait d’avoir la grippe lors du match 4 n’ont plus rien à dire.

Elles ont dû être belles les vacances aux Bahamas avec leur famille respective suite à cette défaite…

Un Allemand sur le toit du Monde...

Revenons-en à Dirk, la carrière de l’allemand est maintenant à son apogée, il s’échappe aux vestiaires lors du coup de sifflet final marquant son sacre.

Tout le monde le cherche, mais de son côté, il se retrouve à verser toutes les larmes de son corps en secret loin des caméras. Il a atteint l’objectif qu’il s’était fixé :

Devenir Champions NBA !

MVP de la saison régulière, MVP des Finales, Champions NBA, destruction de Scottie Pippen et de Team USA alors qu’il a à peine 18 ans et que personne n’a conscience de son existence…

La légende de Dirk Nowitzki, Allemand de naissance, homme d’une seule franchise, vous a été comté par Enscred.com.

Post-Scriptum...

Je vous laisse désormais aller placer un fadeaway au post bas et crier « Diiiiirk » sur tous les playgrounds et dans tous les gymnases, car oui, nous l’avons tous fait !